Ça commence comme un film des années 90, une bande de garçons dans le soir tombant de l’été, désœuvrés et hilares dans les rues silencieuses et désertes d’une zone pavillonnaire. Le goût de l’aventure et du risque, les petites conneries, l’insouciance cruelle de la jeunesse encore préservée. Le tableau est trop beau, il se fissurera bien assez tôt.
