J’ai une petite tendresse pour Jonathan Coe. Parfois il m’énerve et j’aimerais qu’il arrête de faire une fixette sur l’identité britannique et le Brexit, mais souvent j’aime bien ses romans, justement, car ils sont terriblement anglais.
J’ai une petite tendresse pour Jonathan Coe. Parfois il m’énerve et j’aimerais qu’il arrête de faire une fixette sur l’identité britannique et le Brexit, mais souvent j’aime bien ses romans, justement, car ils sont terriblement anglais.