Littérature étrangère

De quoi lire en vacances !

L’été est bien installé et l’heure du départ en vacances a peut-être déjà sonné pour vous. Tout l’été, retrouvez nos coups de coeur afin de dévorer de bons romans les pieds dans l’eau. On vous livre une sélection de ce que l’on mettrait dans nos valises, si on était à votre place !

  • Les dieux du tango, de Carolina de Robertis. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Eva Monteilhet. Le Livre de poche, 2019. Destination l’Argentine pour Leda qui s’apprête à quitter son Italie natale afin d’aller épouser son cousin Dante. Nous sommes en 1913 et lorsque la jeune femme arrive à destination, Dante est mort. Elle reste cependant, et se débrouille dans ce pays inconnu en vivant la nuit, déguisée en homme, et s’initie au tango. Un roman sensuel qui nous fait voyager, découvrir un pays, une époque, une culture !
  • Eureka Street, de Robert McLiam Wilson. Traduit de l’anglais (Irlande) par Brice Matthieussent. 10/18, 1999. Un classique de la littérature irlandaise pour vous mettre le sourire et vous plonger dans le Belfast des années 90. On traverse une ville blessée aux côtés de Jake et Chuckie, le catholique et le protestant, deux amis un peu losers mais pas sans ressource. C’est un roman brillant, intelligent et extrêmement drôle, à mettre entre toutes les mains !
  • Mon désir le plus ardent, de Pete Fromm. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Juliane Nivelt. Gallmeister, 2019. Prenez une histoire d’amour, enlevez tout le romanesque un peu niais, rajoutez une bonne dose de réalité, quelques embûches pour pimenter et vous aurez une idée de ce fabuleux roman écrit par notre ranger du Montana préféré. De quoi faire fondre votre petit coeur de beurre sous le soleil brûlant de l’été.
  • Les fleurs sauvages, d’Holly Ringland. Traduit de l’anglais (Australie) par Anne Damour. Mazarine, 2019. Direction le bush australien en compagnie d’Alice, une petite fille qu’un drame familial contraint à aller vivre avec sa grand-mère. La vieille femme s’occupe d’une ferme horticole où poussent d’incroyables fleurs sauvages. Un roman sur la quête de soi, la résilience mais aussi la beauté de la nature et les messages que l’on passe grâce aux fleurs.
  • Idaho, d’Emily Ruskovich. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Simon Baril. Gallmeister, 2019. Un roman troublant autour des souvenirs, de la mémoire et des non-dits. L’écriture est belle, maîtrisée, presque obsédante et l’on plonge au coeur d’une famille rongée par un drame et des silences. Une belle surprise et un grand coup de coeur.
  • Nos premiers jours, de Jane Smiley. Traduit de l’anglais (Etats-unis) par Carine Chichereau. Rivages, 2018. Une grande saga familiale en trois volumes, terriblement bien menée par le talent de Jane Smiley. Tout commence dans l’Iowa en 1920, pendant la Grande Dépression. On suit cette famille tout au long du siècle et leur petite histoire s’inscrit dans celle, plus vaste, des Etats-Unis. C’est totalement prenant, les personnages s’attachent à nous et cheminer avec eux est un plaisir !
  • L’irrésistible histoire du Café Myrtille, de Mary Sismes. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Julie Groleau. Pocket, 2019. Le roman feel-good de l’été ! La comédie romantique à dévorer à l’ombre d’un parasol ! Ellen se rend à Beacon, dans le Maine, pour faire plaisir à sa grand-mère. Rien ne va se passer comme prévu et elle trouvera là-bas bien plus qu’elle ne le pensait ! Léger, rafraîchissant, un bon divertissement !

    On pourrait vous en conseiller beaucoup d’autres, mais nous vous invitons plutôt à venir faire votre choix sur notre table consacrée à nos coups de coeur de l’été !

    selectionete

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