"J'avais toujours peint de la viande : je m'étais acharné à faire déborder du corps humain sa part d'animalité, à exhiber le spasme de sa sexualité entravée. J'avais mis en scène, d'un tableau à l'autre, l'absurdité de la condition humaine, son désespoir, sa cruauté, et l'absence de toute éternité salvatrice." Larry Tremblay se glisse dans… Lire la suite Tableau final de l’amour de Larry Tremblay